Le Tempérament Musical

Philosophie, histoire, théorie et pratique

par Dominique Devie

Maj: mars 2004

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Présentation de l'ouvrage

Cet ouvrage est paru en 1990. Edité à l'origine par la Société de Musicologie du Languedoc, il est devenu la référence incontestée en la matière et on le trouve dans le catalogue des bibliothèques des plus grandes universités. On trouve sur le Web de nombreuses allusions à cet ouvrage en utilisant le nom de l'auteur comme chaîne de caractères sur les divers moteurs Goougle en particulier.

En vente dans la boutique - cliquer ici

Fac simile de la Table des matières + Index

 

Qu'est-ce qu'un "tempérament"?

Une explication synthétique de cette pratique nécessaire à l'accordage des instruments à sons fixes.

Présentation de l'ouvrage

Présentation assez détaillée des perspectives à l'origine de l'ouvrage...

Photos diverses

Diverses photos de claviers à division multiples, de Jean Batiste Romieu etc...

Feuilles de calcul pour tableurs

Ces feuilles calculent les déviations en centièmes et autres facteurs d'un tempérament. Il suffit d'entrer les valeurs en + ou en - du cycle de quinte. Elles donnent également les déviations des principaux intervalles.

Bibliographie du tempérament

Cette page propose un fichier pdf et le moyen d'accèder à une bibliographie plus complète à laquelle l'auteur a collaboré

Jacquet Viret et Le Tempérament Musical

Résumé :

Personne n'est tenu de s'intéresser à la polémique présentement évoquée. Je la signale pour mémoire et j'ai supprimé la page qui l'évoquais en raison d'un caractère indigeste pour qui n'est pas initié à certains arrière plans. La question du tempérament est simple à partir du moment où on admet qu'il s'agit d'un compromis. C'est une "hérésie" par rapport aux critères de la musique traditionnelle mais elle est "créative" alors que le tempérament égal a tout nivelé. reste ensuite à distinguer les tempéraments par type, par époque et par ère de diffusion.

Cependant il faut savoir que si mon livre ne m'a guère valu que des compliments, Jacques Viret avivement réagi. Tout en ayant collaboré à une revue traditionaliste dans la mouvance (apparente) d'un René Guénon, il m'a en quelque sorte reproché d'être trop pythagoricien. Ce qui est un comble et un étrange paradoxe. Mais pas tellement surprenant quand on sait à quel point Viret a été infesté et tourneboulé par les "hérésies" d'un Jacques Chailley au point d'en développer certaines... Toutefois, entre le musicolâtre qu'est Viret et le mandarin disparu de la Sorbonne il y a tout de même une différence de pointure... Je conserve, en dépit de mes critiques, un certain respect pour Chailley tandis que son élève n'est qu'un intrigant de bas étage, au demeurant très prétentieux.

Enfin il faut savoir que la vraie raison des attaques de Viret n'a rien à voir avec la musique. Les milieux guénoniens ou apparentés sont des milieux de droite et ce n'est pas la notion de tradition qu'ils révèrent. Leur véritable idole c'est en fait le culte de l'autorité qu'à dénoncé un certain Bourdieu (un culte avec tout ce que cela implique quand à une éventuelle brutalité). Cela dit, il faut rappeler qu'au début de sa carrière Guénon fut très anticlérical et très remonté contre les exotérismes et donc d'une certaine manière très à gauche. Est-ce que cela a vraiment changé quand on sait le peu de cas qu'il faisait du catholicisme dans les correspondances de la fin de sa vie ? Enfin si Guénon s'est planté à propos de l'infaillibilité pontificale, au moins partageait-il avec votre serviteur la refus de toute espèce d'inquisition et une exécration virulente du "plat moralisme anglo saxon"... On ne parlait pas encore du politiquement correct...

En résumé, la clique visée par le présent rappel ne supporte que j'ai pu mettre en cause le genre de moralisme qui a cours dans les milieux concernés. Il leur fallait se venger et, très probblement, lorsque Jean Borella, l'un des acteurs principaux de la revue Connaissance des Religions (aujourd'hui disparue et ce n'est pas une grosse perte...), a transmis le livre à son collègue il savait ce qu'il faisait... Pour mémoire signalons que Jean Borella (qui s'accommode sans problème de la "nouvelle messe" romaine) a été largement compromis par la faillite du "schuonisme" auquel il a collaboré en organisant des mascarades en djellabahs dans les forêt du pourtout nancéen pour y réciter des "néo mantras". La faillite en question s'est soldée par un procès retentissant à Bloomington, procès auquel j'ai consacré un dossier. Enfin si ce procès s'est soldé par un non lieu il a été l'occasion de la révélation de dessous peu reluisant dont Borella fut complice pendant une quarantaine d'années alors que n'importe quel observateur doué de ce charisme qu'est le discernement des esprits était en mesure de suspecter de graves anomalies chez le prétendu continuateur de Guénon que fut F. Schuon.

Liens sur le tempérament

Cette page à été supprimée et remplacée par une autre sur la gravure musicale.